Je m’appelle Marine.
Depuis petite, j’ai baigné dans la magie des contes et des histoires féériques. Cela a fait de moi une personne pleine d’imagination et, disons-le franchement, avec une seconde vie dans la tête !
J’ai entendu que les enfants de parents divorcés ont souvent tendance à ne plus croire en l’amour. Ça n’a jamais été mon cas.
A l’adolescence, lorsque le blabla de mon prof de biologie était bien moins intéressant que le garçon dans la cour, je ne cessais de rêvasser et de m’imaginer 1000 scenarios avec lui. Quelques copines, plus prudentes que moi, me disaient qu’il ne fallait pas trop se faire d’illusions, que je pouvais tomber de haut et encore plus souffrir. Je m’en fichais. Si je devais souffrir, je souffrirais. La vie est faite ainsi après tout. J’avais confiance en moi et je savais que je pourrai me relever.
J’ai donc grandi et évolué avec cette phrase à l’esprit : « Crois-y, essaie, on verra bien ce qu’il se passe. » Cela était valable dans divers domaines de ma vie. Je me donnais toujours à fond et tentais de mettre le maximum de chances de mon côté pour atteindre mes buts. A force, j’ai tellement laissé ma tête et ma volonté me dominer que j’en ai totalement oublié mon corps. C’est là que ma rencontre avec Valentina prend tout son sens.
C’est grâce à une connaissance que j’ai appris l’existence de Valentina et de la symptothermie. Cette méthode m’a tout de suite attirée. A plus de 31 ans, je voulais me reconnecter avec mon corps, le comprendre. Cela faisait bien des années qu’il essayait de communiquer avec moi mais que je ne prenais pas le temps de l’écouter. Il était temps que les choses changent.
Lors de ma première rencontre avec Valentina, je suis tout de suite tombée en admiration. Elle était belle, elle était grande, elle était tellement… femme. Avant d’aborder le thème de la sympto, elle a voulu plus amplement me connaître. Au fil de la discussion, un lien très fort s’est créé. Nous avons la même date de naissance, ceci n’est pas anodin. Je me suis sentie en confiance et de vieilles blessures ont ressurgi au fil de notre discussion. Pourquoi maintenant ? Pourquoi si fort ?
Ce n’est que quelques semaines plus tard que j’ai compris. Cette peur, bien enfouie en moi, de perdre un être cher, un frère, un enfant, refaisait surface car le moment était venu. Mon corps le savait très bien : c’était à mon tour d’être mère.
J’en ai beaucoup parlé avec Valentina et j’ai décidé d’utiliser la sympto pour tomber enceinte ce qui est finalement arrivé. En quelques séances, cette femme m’avait déjà énormément apporté mais je sentais que mon travail avec elle n’était pas terminé. Nous poursuivons donc actuellement nos rencontres pour le yoga pré-natal. C’est un vrai bonheur de la voir à chaque fois et je sais que mon chemin avec elle est loin d’avoir touché à sa fin.