Depuis plusieurs années, l’Occident s’est entiché de la pratique du yoga. En Suisse particulièrement, la proportion d’adeptes de cette discipline (toutes mouvances confondues) a doublé entre 2008 et 2014, selon l’Office fédéral du sport, pour atteindre 7% de la population, soit autant que le football. Et la yogathérapie est reconnue comme médecine complémentaire. Mais dans ces pratiques qui vont de la pure activité acrobatique à la thérapie psychologique, que reste-t-il du yoga des origines ?
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